LA LIBERTÉ DE PENSER PAR NOUS-MÊMES
- Lucie Mandeville
- il y a 5 jours
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Dernière mise à jour : il y a 5 jours
Me voici de nouveau en Suède, à marcher au bord du petit lac, au bas de chez moi, avec le vent qui souffle. Dans cette vidéo, j’annonce ma venue au Québec, en juin, pour y offrir une nouvelle conférence (dates et lieux à venir), nous rassembler et répondre ensemble à la question : qu’est-ce qu’on fait ? Je partage aussi la primeur du « 24 juin, J’Y SERAI, en Beauce, à la fête qui unit nos cœurs » (détails à venir). Je mentionne de nouveau mon souhait de trouver un pied à terre au Québec.
Dans ma conférence, j’approfondirai les thèmes de la vie et de l’amour. Si nous comprenons mieux nos conditionnements, nous cesserons de nous faire prendre au « jeu », nous redécouvrirons nos capacités et retrouverons la confiance dans l’intelligence de la vie. Cette conférence sera aussi l’occasion de présenter mon nouveau livre « FLOP — Faire la paix avec l’amour », qui sera publié dans les prochaines semaines dans la section « Livres » sur mon site Luciemandeville.com.
Pour rire un peu, je dirais que des « joueurs compulsifs ou pathologiques » prennent le jeu de société très au sérieux. Certains s’accrochent à un événement ou un personnage en le croyant déterminant pour leur démarche existentielle. D’autres dénoncent un danger ou une menace, et, sans en être conscients et sans le vouloir, ils propagent la peur et risquent d’engendrer la panique. Mais, c’est un jeu, basé sur une connaissance de l’humain et de simples tactiques d’information.
Prendre une distance de l’information (j’ose poser quelques questions à ce sujet) nous amène à un deuxième niveau de compréhension, qui rend perceptible l’effet recherché par tel ou tel événement géopolitique, écologique, économique, etc. Nous devenons plus intelligents. Nous utilisons nos capacités latentes, entre autres nos ressentis, qui ont été réprimées, pour comprendre les choses et construire notre vision de nous-mêmes et du monde.
Maintenant qu’on sait qu’on ne sait pas grand-chose, en fait, devant l’étendue de la tromperie et le grand mystère de l’existence, nous avons la liberté de penser par nous-mêmes. Cette démarche est longue, mais captivante.
Désolée pour la coupure d’une section superflue de la vidéo.
C'est ce que j'appellerais l'équilibre qui nous est nécessaire dans la vie. La nature nous permet de nous recentrer, tandis que le bain de foule nous permet de garder une ouverture envers les autres. Un de mes petits bonheurs c'est de faire un brin de jasette avec un ou une parfaite inconnue et de me rendre compte après quelque mots seulement, que cette personne est au même niveau de réflexion que moi et que tant d'autres. Rien n'est perdu. Merci Lucie !😍
La vérité jaillit des paradoxes... J'aime bien t'écouter, te lire. Tu semble avoir trouve ta voie. Tu nous dis souvent qu'il faut revenir à soi, à ce que nous sommes vraiment, intérieurement. La promenade en nature aide à nous "retrouver". D'une certaine façon c'est vrai. Mais je constate que ce qui t'anime, toi, c'est "les autres". Tes livres, lectures, tournées... le focus sur autruis est une nécessité, le chemin vers lequel "on se retrouve soi-même", qu'on retrouve notre humanité. Pour retrouver notre vrai nature, il faut se tourner vers les autres, vers le bien être des autres.